Le touriste tropical débarque d’une contrée où la nourriture s’inspecte et se pasteurise. Il est peu accoutumé aux toxines des denrées mal gardées comme les shigelles des ratatouilles et les amibes des salades. L’infime toxine ou bactérie provoquera chez le touriste une diarrhée ou turista aussi ordinaire qu’inéluctable. Voici des consignes pour y pallier.
Prévention contre les maladies tropicales
La principale incommodité rencontrée en voyage est en général la diarrhée. Il faut donc s’hydrater fréquemment et à foison : de l’eau décantée, spécifiquement pour les vieilles personnes et les enfants. Mais le péril alimentaire ne se restreint pas à cette banale importunité. En effet, de multiples et quelquefois nocives maladies sont transportées par les produits, due au croisement de deux chaînes alimentaires et défécations humaines. Ce mélange forme l’eau souillée que l’on consomme ou qui s’utilise pour asperger les légumes et les mains crasseuses qui touchent les aliments. Le voyageur aura alors des risques de contracter le choléra, la fièvre typhoïde et diverse salmonelloses. Il faut donc bien se laver les mains avant de croquer, de boire de l’eau buvable qui devra obligatoirement être bouillie ou en bouteille cachetée. Il est aussi impératif de ne pas manger de glaçons, d’éplucher les fruits et les légumes, les purifier avec de l’eau potable et de consommer des plats bien cuits, surtout la viande.
Les bestioles et l’homme : les dangers
Le voyageur peut donc contracter certaines maladies graves. Pour éviter de les contracter, il faut employer un excellent répulsif avec du diéthyl toluamide DEET, de l’acétyl butyl alanilate d’éthyl IR3535, du caroxylate de Sec-butyl pipéridine KBR3023 ou encore du citriodiol. En soirée, il est recommandé de mettre des habits imprégnés et recouvrant le corps. Lorsque vous êtes en voyage, il n’y a pas que les animaux qui peuvent représenter un danger. En effet, vous et vos semblables peuvent représenter un danger plus maléfique que les disgracieuses bestioles. Effectivement, d’après le HCSP, les principaux motifs de rapatriement sanitaire sont causés par l’homme lui-même. Avant de partir aux tropiques, adhérez à une assurance indemnisant les charges médicales ainsi que le rapatriement sanitaire.