Vous prévoyez d’acheter un bien immobilier de manière à générer des revenus additionnels qui peuvent quelquefois être importants, mais également afin de profiter d’avantages fiscaux au moyen des systèmes Duflot, Censi-Bouvard, ou Malraux ? A priori, il faut dresser un plan d’investissement.
Calcul à faire
Avant de risquer un immobilier en location, quelques calculs s’avèrent nécessaires. En principe, le rendement locatif brut varie de 3 à 5 %. En examinant les atouts fiscaux relatifs à l’immobilier et les taux d’emprunts, le rendement peut balancer entre 5 et 7 %. Avant de pratiquer un investissement locatif, il faut évaluer la productivité de ce placement. De ce fait, vous pouvez opter pour deux techniques. Celles-ci vous aident à statuer si le coût décliné pour un bien immobilier semble excessivement cher ou non. Elles consistent à exécuter une confrontation entre les bénéfices escomptés avec ce que pourrait produire un investissement à long terme.
Les deux procédés à appliquer
La première technique consiste à définir le rendement via le loyer, nommé aussi capitalisation du loyer. Cette formule de calcul consiste à placer la rentabilité annuelle prévue du placement. Par la suite, vous la rapprochez avec le loyer que vous sollicitez à vos futurs locataires potentiels. La seconde méthode consiste à évaluer le dividende par le biais du coût d’achat. Vous bénéficiez alors d’un pourcentage de rendement annuel aisément équivalent avec celui fourni par d’autres dispositifs de placement.
S’adhérer à un crédit sans apport
Toutefois, la souscription à un crédit requérant un apport n’est pas un jeu d’enfant. Cependant, les établissements bancaires peuvent octroyer un prêt sans mise de fonds. Ces derniers temps, plus de 50 % des crédits pour investissement locatif ont été attribués sans apport, vu que la majorité des emprunteurs a acquitté leurs mensualités puisque les loyers reçus permettent l’acquittement avec facilité, à l’inverse d’un prêt dédié à l’accession purement et simplement d’un patrimoine immobilier.